Présentation de CthulhuPrénom: El Gringo pour les intimes.Âge: 19.Etudes/Profession: Deuxième année de médecine.Origine du pseudo: Eh bien... J'aime bien Lovecraft ? Passionnément ?Hobbies: Découper des trucs qui pue, lire jusqu'à oublier de s'endormir, parsemer le tout de quelques comics et écrire de temps en temps.Qualités/Défauts: Découpe des trucs qui pue ?Mes TalentsNiveau de codage: Vachement bas.Niveau de graphisme: Plutôt moyen ?Mes créations: (codage, graphisme, photos, dessins... )
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Exemple de texte en spoiler (spoiler dans un spoiler... Inception ! ok je me tais, et j'ai pris un truc de mon dernier rp, j'ai trop mal rangé sur mon ordi le reste) :
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« - Je donne l'assaut ! »Explosion, coup de feu, grincement, liquide épais et chaud se déversant sur le froid et austère dallage des lieux. Cris, émotions, paroles, liquide tièdes coulant sur l’épiderme suant nerveusement des vivants. Machine emballé, logique détraqué, les rouages d’acier de la raison implacable subissaient l’assaut de la rouille malsaine au ton d’inconstance écaillé. Les mécanismes se déréglé, sur quel rythme se caler ? Dans quel sens fallait-il tourner ? Que croire, que faire, que voir, que penser, fallait-il espérer ou craindre ? Et si les deux ne formait qu’un. Déraisonnable, insoutenable, folie destructrice et imprévisible, heurtant de plein fouet la machinerie huilée du Quotidien. Notion primal remontant dans les cœurs : mort, survie, peur … Comportement animal, souris craintive écrasé par la masse d’un prédateur inconnu venant de broyer la tanière sûr et réconfortante. Chacun d’entre eux était une roue, tournant avec son environnement, s’emboîtant à l’unisson dans un parfait mécanisme rassurant et ronronnant, et voici qu’il avait amené ses propres engrenages, les balançant dans le mécanisme et les laissant y inculquer un chaos soudain, un changement de rythme accélérer et menaçant de faire sauter les roues. L’acier de la machine se corrodait dans crissement plaisant à entendre pour ceux qui parvenait à l’écouter. Il se sentait comme un chef d’orchestre, contemplant le travail des musiciens qu’il avait jeté dans un amphithéâtre, jouant sans consigne ni partitions. C’était Hilarant, mais il y avait un problème c’était encore trop cohérent. Chacun avait sa place et le cadre restait encore trop sensé. Il pouvait faire mieux, rendre le mécanisme inconstant et incertain ne lui suffisait pas, il voulait voir la machinerie exploser, les roues partir en tous sens et les conventions disparaître dans un flot novateur, entraînant et aliénant.
La courte paille pour choisir la tâche de chacun ? De l’endroit où il se tenait le néantin ne réagit même pas à cette proposition folle et insensée, elle était extrêmement amusante, mais il avait déjà son rôle et peu importe ce que déciderais le Hasard ou le Destin, il ne ferait rien d’autre que ce qu’il avait décidé. Sa main métallique réajusta le masque déséquilibré de licorne qu’il avait sur la tête. Sans oreille et avec la forme de son crâne porter ce genre de déguisement était juste une lutte éternelle contre les lois de la gravité, un combat irritant. S’approchant du détenteur des dites « pailles » il en saisit une sans même y prêter attention et s’éloigna de quelques pas du groupe des braqueurs, la brindille coincé entre deux doigt métallique s’échappa de l’étreinte forte mais maladroite, dégringolant de la paume, se faufilant dans la manche et, trouvant l’endroit irrésistible, se coinça dans l’armature d’acier du membre factice. L’ombre observa le mouvement, peu habitué à ce genre d’évènement il ne se rendait que moyennement compte de la pénibilité de la situation. Les autres braqueurs avait tous tirés la leur et comparait rapidement à vue d’œil, bien sûr à un moment l’attention se porta à lui. Temporisant l’attente de ses collègues d’un geste de la main il remonta sa manche et commença tranquillement à farfouiller son bras, une tranquillité éphémère qui dégénéra rapidement en une lutte violente entre le métal carcéral et le néant qui tâtonnait à la recherche de l’allumette.
Un profond soupir se fit entendre, frustré Ervayne contempla les attentes insatisfaites de ces camarades, haussant les épaules et écartant légèrement les bras pour signifier : * Je ne suis actuellement pas en mesure de répondre à votre requête malgré l’immense effort et l’utilisation conjointe de ma volonté et de ma dextérité légendaire. En attendant je vous prie d’agréer mes sincères et plates formules de politesse érigé par un sentiment de culpabilité aussi éphémères que factice… Très joli masque au passage. * Et ce faisant la brindille roula hors de la prison corporel, d’un mouvement infime, mais qui attira l’attention du néantin, comme une lampe attire les papillons, instantanément son bras se tendit pour rattraper la baguette, le bras métallique bien entendu, également à noter que le masque semblait dangereusement menacé dans son équilibre également. Toujours est-il que le geste et la soudaine détente du bras enclencha le mécanisme de tir inclus à l’intérieur. C’est donc ainsi qu’un coup de feu sonore, inattendu et dévastateur pour le dallage malheureux qui en fut la victime, résonna dans la grande salle, fit voler des bouts de sol, le laissant cribler d’une grêle d’impact de projectile de la taille d’une petite bille, mais des billes teigneuses attention. Evidemment plus de trace de la brindille dans la zone.
La succession d’événement avait rendu le néantin hilare, il explosa d’un rire grave en imitant les gestes communs des êtres vivants dans cette situations, l’absence de sourire posait cependant la question de la réalité du rire de l’ombre. Ce qui était bien réel toutefois c’était le soudain recroquevillement des otages et la peur qui avait pris un peu plus d’ampleur dans leurs esprits. L’éclat de rire se termina sur la pittoresque vision du masque de licorne glissant du visage lisse, ficelle autour de son cou tandis que le simulacre de licorne gisait sur le haut de son torse, plastique déformée, moche et devenu insupportable. Visage découvert le néantin se tût, arracha son masque et se mit en marche vers le groupe en récapitulant plusieurs faits.- Bon, les portes sont verrouillés, les forces de l’ordre sont dehors et se prépare à lancer un assaut passant par derrière le bâtiment, on a le réseau de caméra pour surveiller l’ensemble du complexe. On a aussi un coffre à vider et ça, ça doit être effectué rapidement, mais il y aussi le facteur de nos petits sujets d’expérience tout autour qu’il faut surveiller, voir même divertir.
Il se tourna et se rapprocha des portes pour voir les forces déployer à l’extérieur, s’amusant à sans cesse faire bouger les doigts de son bras d’acier, il le pansa pensivement. L’Homme d’ébène s’intéressa à l’androïde du groupe.- Ouvre les portes avant.
Il avait une excellente idée, sublissime par sa simplicité et tout simplement la contradiction à la totalité de ce qu’avait pu connaître les personnes présentes ici et à l’extérieur. Une surprise majestueuse, un plan dévastateur. Sa conscience de la machinerie et de la fragilité des rouages se fit plus précise. Son acuité s’étendant à la machine extérieure, celle de la ville qui avait était à peine effleuré et désormais répliqué à l’intermédiaire d’un griffe mécanique, les forces de l’ordre, venu gratter la rouille, replacer les composant et redonner le bon rythme. Son œuvre ici était presque sur le point d’aboutir mais la griffe maintenant encore la cohérence et la raison de l’ensemble, elle pensait pouvoir contenir la corruption et l’insanité qu’il avait introduit. Mais c’est que la folie et le chaos sont des maladies imprévisibles, épidémiques et évolutives, quand à lui il en était le virus le plus virulent, le porteur d’une pestilence maligne, le vecteur de la propagation. C’est ce qu’il pensait, soumis à une soudaine crise de mégalomanie narcissique, son amour propre se transformant en une sorte de colosse, un gigantesque bisounours d’affection envers lui-même. Le temps qu’il finisse les m’amours spirituelles, les portes était désormais déverrouillés. Les pas du néantin le conduisait petit à petit vers le seuil du bâtiment d’une marche inexorable et dégageant par on ne sait quel phénomène malsain une aura violente et vicieuse, à moins d’une dizaine de pas de sortir il se stoppa, fit demi-tour et revint au petit trot vers ses camarades.- J’ai oublié un petit truc !
Il s’arrêta devant un des sujets d’expériences, un jeune homme et posa solennellement sa main sur son épaule. Scrutant le visage de celui dont les cheveux brun descendaient sur ses épaules, plongeant son visage lisse et donc désormais démasquais dans la prunelle de l’homme. La main noir le tira vers Ervayne qui passa son bras métallique autour de ses épaules, et le força à le suivre comme s’il s’agissait d’un camarade.- Je vais avoir besoin de toi et de ton crayon, rassure toi, une fois dehors tu sera libre. Il ponctua sa phrase d’un ricanement et ils repartirent ensemble vers la porte et le seuil illuminé du bâtiment.
La grande porte s’ouvrit devant le barrage de policier qui rassemblait les morceaux et se réorganiser après l’explosion provoqué par le monsieur en armure doré, lui ne faisait pas dans la délicatesse ni la mise en scène. Toute l’attention se tourna donc vers l’étrange humanoïde qui tenait sous son aïle un jeune homme mal à l’aise. A peine la rangers de cuir du néantin fit un pas dehors qu’il leva son autre bras en l’air et hurla à l’attention des forces de l’ordre.- Je me rends ! Ne tirez pas ! Je me rends ! La pression, le stress du braquage, les otages, leurs petits yeux mignons… je ne tiens plus … J’ai un otage avec moi en signe de bonne volonté.
Il commença à s’avancer doucement vers les officiers qui pointèrent leurs armes vers lui, les ordres fusèrent, lui intimant de se stopper, de se coucher au sol et de relâcher l’otage. Des cris, des hurlements, des bruits de pas, des battements de cœur qui s’accélèrent, le néantin en venait presque à entendre le bruit de la peau exultant les gouttes de sueur du stress. L’agitation qu’il avait déclenchée, les questions qui se posait dans la tête de tous ces gens, leurs raisons qui s’emballaient. La logique de leurs esprits qui cherchait à toutes vitesses à tout expliquer, cette excitation naissante, bon sang que c’était bon, il continua ses pas lents cherchant à tâtons la limite ou le premier coup de feu pour le neutraliser fuserait. Il la sentait toute proche quelques part par-là, alors il s’y avançait. Il voyait la salive sortir des gueules vociférantes des agents, il y avait l’odeur de leurs circuits sanguins qui convoyait l’adrénaline à toute vitesse. Lui pendant ce temps continuait d’avancer sans cessait de déblatérait des propos dont il était désormais impossible de savoir comment il avait pu arriver à aborder ce sujet.- Juste parce que la barrière était un poil trop haute, les étagères se sont alors renversé, j’étais au milieux vous voyez, tout se déversait à mes pieds, bon c’est vrai c’est moi qui avait tiré et ravagé l’ensemble du magasin, j’aurais pas dû être surpris de voir que ça en mettrais partout mais le truc c’est qu’en fait c’est pas ça qui m’as vraiment surpris mais l’arrivée inopinée de la porte, sortant de ses gongs sous le coups de la brute qui était présenté dans l’arrière-boutique. Ça faisait donc une vue grande ouverte … et c’est là que ça part… Comme les Cuisse de ta mère !
Articula-t-il haut et fort en désignant brusquement du doigt un des officiers autour de lui. Un homme banal qui soumit toutefois à la crainte, à son entraînement et au geste agressif d’un homme qui venait d’injurier sa bien-aimée môman, craqua et appuya sur la détente de son arme à feu. La myriade de déclic, l’explosion de la cartouche le bruit de son passage dans le canon, l’enclenchement du projectile suivant, il perçut a la milliseconde près l’infime caresse de l’index sur la détente. Son Bras de métal projeta l’otage au sol, sur le bitume de la rue alors que lui-même recevait une ou deux balle qui traversèrent son corps sans infliger plus qu’une piqûre de moustique irritante. Les deux bras d’Ervayne s’ouvrirent en grand, un chef d’orchestre signifiant le début de la symphonie.- Je donne l’assaut !
Et là il implosa… Myriades de danseuses de ténèbres, Chorégraphie d’ombre, flou obscur et éloigné de la réalité. Drapeau déconstruit du tangible, Oriflamme annonciateur, bannières flottant dans les flots immatérielle d’une réalité déjà distordus par l’annonciation de l’Emissaire. De longues seconde de contemplations de la nuée, la corruption commençait à s’étendre dans les esprits de chaque témoins, la logique perdait pieds, la marée noir aérienne engloutissait l’attention de la raison, déchaînant les torrents cartésien des esprits, les asséchant pour créer les lits tarit de la Stupéfaction, l’Incompréhension et les prémices primales de la peur. Il allait peindre désormais, sculpter, façonner, dessiner, recréer la toiles de la réalité que chacun percevait. C’était sa danse, sa chorégraphie, l’endroit où il pouvait déchaîner ses passions, retrouver ses anciennes sensations, se libérer du vortex qui le contraignait a sans cesse absorber, c’était son moment, celui de son chant silencieux.
La nuée se rassembla a côté de l’officier qui avait tiré, reformant l’Ombre dans son long manteau et son bras métallique, défiant à nouveaux les lois de la cohérence. Ses gestes furent comme des traits de peinture laissant derrière eux la traînée d’une gouache noire et liquide, Arrachant le fusil des mains de l’humain avant de lui asséner un coup de poing dans son mon menton, le métal écrasant la protection du casque et déclenchant une légère projection de salive qui monta dans les airs, alors que disparaissant aussitôt le néantin se retrouva accroupi devant un autre officier auquel il asséna un coup dans le genou, l’attirant au sol et saisissant son arme pour tirer en direction de la voiture qui servait de couverture à d’autres agents. Le vent invisible l’emporta de nouveau, laissant derrière lui la confusion d’un fantôme palpable. A chaque apparition il tournoyait, les pan de sa veste avait à peine le temps de retombé le long de ses jambes qu’il était ailleurs, déchirant la toile pour surgir à côté d’une nouvelle victime. Il ne tuait pas, et ses coups n’infliger que des ecchymoses superficiel, car ce n’était pas les corps qu’il voulait meurtrir. Il ne luttait pas séparément contre chaque homme et son équipement, ni même contre l’escouade, son combat il le livrait dans une uniques espace de temps contre la Réalité. Il n’ouvrait pas de plaies dans la chair mais dans la perception de chacun montrant à chaque coup le Diktat du Tangible. Ce n’était plus un seul homme mais une foule qui assaillent chaque recoin de l’œil, déclenché les cris, les coups de feu, la crainte, le bruit, plongeait l’endroit dans le chaos, Et parallèlement à tout ça, prenait le temps d’accompagner le jeunes homme au crayon au milieu de la confusion plus en plus totale, l’amenant près d’une voiture, à couvert, puis le propulsant debout au milieu du spectacle avant de lui faire esquiver une balle perdu en sautant sur lui pour le coucher.
Enfin au milieu des illusions, des coups et des assauts, il sembla qu’une image plus prolongé de lui se dressait face au brigadier, nonchalamment accoudé à une voiture qui recevait irrégulièrement une volée de balle. Seules quelques-uns au sein de la mêlée n’avait pas encore était assaillie par le spectre du néantin, le brigadier et une femme de l’unité, Ervayne s’éloigna de la voiture alors que des vitres percée par une rafale de balle explosèrent. Et s’avança vers le brigadier, ouvrant petit à petit ses bras pour désigner la scène et défier l’officier en lui montrant ce qu’il avait déclenché, mais avant d’esquisser le moindre signe d’agression à son égard il disparut, emporté par un zéphyr de chaos, un vent malsain qui dévoila la violence d’une toute autre scène au brigadier, dont les yeux contempler au ralentie le spectacle. Une dizaine de mètre plus loin près d’une voiture, le néantin apparut en plein élan, esquissant un revers de son bras métallique un coup qui menaçait la partie situé juste sous la poitrine d’une jeune femme, visant son diaphragme et le bas de ses côtes, les courtes lames décoratives du bras laissait présagé par leurs éclats de profonde plaies et la violence d’un choc terriblement réel, suivit plus que probablement par un attaque du néantin qui viendrait fracassé le crâne contre la carrosserie cabossé et saillante, venir pressé le visage de l’humaine sur la surface de métal, la broyer et la mutilé pendant que l’insondable visage lisse dévisagé le regards de l’homme en charge de la victime, sondant son âme par la brutalité de son intention s’il n’était pas stoppé.
Et un exemple de création graphique :
Et quand je m'ennuie je fais des pixel arts moyens :Mon forum: SFF (Sans Forum Fixe) de mon état.Si tu étais...Un animal: Tapir de malaisie. Sans déconner, les petits tapirs sont juste adorables.Un objet: Un scalpel.Un des quatre éléments: Le feu. J'aime bien cramer des trucs (Pyro sur tf2 spotted, les amis)Une couleur: Wow. Joker. Oh, donc vert ou violet, du coup.Une célébrité: Brad Pitt dans Snatch. Carrément.Un(e) film/série: Game of Thrones.Une musique: Un truc qui dure littéralement 527 heures.Un verbe: Vous me posez une colle, là, mes petits pères... Tomber dans les escaliers ? (Oui y'a pas qu'un verbe, chut)Un fruit: Raisin.Un légume: J'aime pas les légumes. Alors patate.Toi et EpicodeComment l'as-tu connu ? En cherchant un peu partout.Pourquoi t'es-tu inscrit ? Je suis une pine en code et ça me ferait plaisir d'enfin m'améliorerQuelle est ta première impression sur le forum ? Carrément classe !As-tu une question, une suggestion ? Nope, on est clean.Code du règlement:
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Loune : Merci beaucoup, les fans de Lovecraft sont rares mais toujours de qualité ! ... Et n'ont plus une santé mentale irréprochable :3
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